Voici la liste des 10 formes de vie qui pourraient urvivre à une guerre nucléaire:
10. Les amibes
Sans doute la forme de vie la plus simple et éventuellement la base de toute autre vie, les amibes survivront . les amibes ont la capacité d’entrer dans un état dormant se recroquevillant sous une couche de protection et sont capables de rester comme ça indéfiniment. Les amibes se trouvent partout dans le monde en grand nombre et sont extrêmement petits donc il est très probable qu’ils survivent.
Les amibes sont résistants aux rayonnements, et sont un organisme unicellulaire. Ils peuvent se reproduire seul très rapidement, ce qui garantit leur survie.
9. Le cafard
Probablement le plus connu de tous qui pourrait potentiellement survivre à une guerre nucléaire.
Le cafard est capable de résister à des quantités modérées de radiations et de survivre à environ 300 mètres de l’endroit où la bombe d’Hiroshima a explosé. Cependant, les armes modernes sont beaucoup plus puissantes que la “petite bombe d’Hiroshima”, donc moins de cafards survivraient aux armes nucléaires d’aujourd’hui.
Selon Mythbusters, 10% des cafards ont survécu à leurs tests pour un niveau de 10.000 rads de rayonnement. La “petite” bombe d’Hiroshima a dégagé environ 10.000 rads, il est donc possible que les cafards survivent mais seulement s’ils sont suffisamment loin de l’épicentre du rayonnement.
En revanche, un être humain exposé à 10.000 rads subirait un coma instantané et assez rapidement la mort. La capacité des cafards à survivre est en raison de leur faible taux de croissance. Leurs cellules se reproduisent seulement toutes les 48 heures donc le risque de mutation est moindre.
8. Le scorpion
Bien que non garanti, les scorpions sont susceptibles de survivre. Ils ne souffrent pas des rayonnements ultraviolets.
Les scorpions ne sont pas seulement capables de survivre aux rayons UV, ils pourraient pourraient probablement survivre aux radiations nucléaires. Ils sont également présents sur tous les continents sauf l’Antarctique et peuvent même être congelés et ramenés à la vie. Cela peut les aider à survivre à un hiver nucléaire.
On les trouve souvent dans des terriers, ce qui offre une certaine protection physique contre les radiations ce qui augmentent encore plus leurs chances de survie. Les scorpions sont très résistants et n’ont pas changé tout au long de leur évolution en raison de leur forme déjà parfaite.
7. Les braconides
Les Braconides sont une grande famille d’insectes parasites (qui pondent des œufs à l’intérieur d’autres animaux). Heureusement pour eux, ils sont très résistants aux radiations ce ce qui augment leurs probabilité de survivre aux retombées nucléaires. Les chercheurs ont découvert qu’ils peuvent supporter jusqu’à 180.000 rads de rayonnement.
Le problème est de savoir si oui ou non ils trouveraient des proies pour pondre leurs œufs à l’intèrieur mais il est fort probable qu’ils le pourraient. Après tout, ils ne sont pas les seuls sur cette liste, non?
En outre, voici un fait amusant sur ces insectes: les braconides peuvent effectivement être formés pour flairer les produits chimiques nocifs et explosifs comme un chien renifleur.
6. Le linguta
Le lingulata n’a pas de problèmes avec les extinctions de masse et a survécu à toutes sans aucun problème.
Il semblerait qu’il est en mesure de creuser profondément dans le sol dans les moments difficiles et émerger plus tard. En dépit de leur capacité à survivre personne ne comprend vraiment comment ils font. Pourtant, s’ils ont survécu à 99% des espèces qui ont jamais existé, ils seraient en pôle postion pour survivre à une guerre nucléaire.
5. Les drosophiles
La “mouche du vinaigre” ou “mouche des fruits” et pour être plus précis drosophile , peut survivre à de fortes doses de rayonnement jusqu’à environ 64.000 rads. La plupart des insectes sont tout à fait capables de ralentir le rayonnement en raison de la division cellulaire et de la reproduction extrêmement rapide des survivants. La capacité de se reproduire signifie qu’ils ont la capacité d’évoluer très rapidement et de s’adapter à tous les changements de conditions.
De plus, le simple fait qu’ils sont si petits jouent en leur faveur aussi, car il y a moins de cellules affectées par le rayonnement et moins de surface qui l’absorbe. Comme nous commençons à le comprendre, le monde d’après guerre nucléaire ne sera pas particulièrement mignon et acceuillant, mais au moins il resterait un peu de vie.
4. L’humain
Surpris? Eh bien, en dépit de tout ce que l’on sait sur notre capacité à survivre au rayonnement, il est fort possible que les humains puissent survivre à une guerre nucléaire. Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, la quantité d’armes nucléaires dans le monde est effectivement en baisse, ce qui signifie moins de bombes. Alors que les bombes existantes pourraient techniquement effacer tout le monde mais ce serait peu probable car les humains sont trop dispersés dans le monde entier. Bien que les bombes soient environ 1 000 fois plus puissantes maintenant qu’Hiroshima cela ne signifie pas que 1 000 fois plus de personnes vont mourir.
Avec des humains présents dans toutes les régions du monde, et des abris nucléaires, il est possible que suffisamment de personnes survivent.
En plus nous avons la chance de posséder l’intelligence pour nous aider dans les moments difficiles. Or, vous le savez, nous pourrions déjà commencer par ne pas lâcher de bombes.
3. Le choquemort
Les poissons ne sont généralement pas de grands survivants, les variations de la teneur en sel, les températures de l’eau ou la pollution devrait normalement les anéantir.
Le choquemort est spécial car il peut vivre n’importe où. Il vit dans les zones les plus polluées de la mer qui sont touchées par de graves déversements de produits chimiques. Il est également le seul poisson à avoir été dans l’espace. Plusieurs ont été emmenés à la station spatiale Skylab en 1973 pour des tests et il était le seul poisson qui pouvaient nager dans l’espace et tous leurs descendants sont nés normalement.
Leur capacité de survie est liée à leur capacité à activer des gènes sous et hors tension en cas de besoin.
Cela permet au poisson de survivre dans n’importe quel mélange de produits chimiques, dans n’importe quel température et peu importe la salinité de l’eau. Tout poisson qui peut faire cela est sûrement favori pour la survie.
2. Le tardigrade
Le tardigrade (ou oursons d”eau) fait partie des favoris à cause de ce que les scientifiques appellent «extrêmophiles». Cela signifie qu’ils peuvent résister à des situations extrêmes qui mettraient la honte à la plupart des animaux de notre planète. Ils peuvent être bouillis, écrasés, congelés, vivre dans l’espace, vivre sans eau et être ramenés à la vie après avoir été cliniquement mort pendant presque une décennie.
Ils ne mesurent que jusqu’à 1,5 mm de long et sont donc moins susceptibles d’être touchés par l’explosion elle-même. Ceci, couplé avec leur capacité à survivre à tout, y compris le rayonnement, en fait avec certitudes l’un des favoris pour survivre une guerre nucléaire.
1. le deinococcus radioduran
Surnommé “Conan la bactérie” par les scientifiques, c’est le survivant incontestable numero 1.
Les tardigrades peuvent être extrémophiles mais Conan est un “polyextremophile” ce qui signifie qu’il est meilleur en tout que le tardigrade qui est déjà indestructible.
Répertorié en tant que “forme de vie la plus résistante à la radiation” par le Livre Guinness des Records du Monde à un moment donné, il est clair que c’est un dur à cuire. Il est capable de réparer son ADN endommagé si rapidement que les scientifiques essaient de l’utiliser pour aider à traiter les humains. Il est déjà utilisé pour le nettoyage des zones polluées.
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