Peu d’animaux dans les zoos sont réellement en danger d’instinction, le reste est présenté au public à des fins de divertissement. La série “Captive”, de Gaston Lacombe, vise à exposer la détresse de ces animaux.
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Alors que l’intention d’un zoo était honorable, beaucoup sont malheureusement devenus semblables à une collection de voitures plus qu’à un effort de conservation des animaux.
Comme l’a dit l’organisation de défense des animaux, PETA, souvent les animaux en captivité “passent beaucoup de leur temps à marcher en cercles serrés, se balançer ou rouler leurs têtes, et montrent d’autres signes de détresse psychologique.” De toute évidence, les animaux seront toujours mieux dans la nature, en liberté dans leur milieu naturel, plutôt que de vivre dans des enclos de petites tailles, mal décorés et éclairés artificiellement.
Même l’argument en faveur de la conservation des animaux ne tient pas la route. Peu d’animaux en captivité sont en voie de disparition, les zoos préfèrent mettre en valeur les espèces exotiques pour le plaisir du public. C’est un divertissant pour les humains mais qui n’est pas bénéfique pour les animaux.
Pour être exact, il y a des organisations qui aident véritablement à la conservation des animaux en voie de disparition. Le zoo de San Diego, par exemple, prend soin de Nola, l’un des quatre derniers Rhinocéros blanc du Nord au monde. Sans leur aide, elle serait probablement tuée par des braconniers en quelques jours.
Mais dans l’ensemble, très peu de zoos semblent réellement s’investir dans le bien-être de l’animal à long terme, ce qui est probablement la raison pour laquelle la plupart des animaux en captivité vivent moins longtemps que dans la nature.
C’est exactement ce que le photographe Gaston Lacombe cherche à transmettre avec sa série intitulée “Captive” . Les images ci-dessous exposent les conditions de nombreux animaux qui vivent chaque jour détachés de leur origine naturelle.
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